
La banque centrale européenne a perdu 7,94 milliards d’euros en 2024
La BCE a ainsi essuyé une perte nette de 7,94 milliards d’euros en 2024.
Sale temps pour les banques. Après les annonces de suppression de postes à la Société Générale, chez BNP Paribas, au tour de BNP Paribas Fortis de dévoiler son plan de réduction des coûts : entre 800 et 1.000 postes supprimés. Aucun licenciement sec à priori.
Publié le par à 0 h 0
La première banque belge, filiale du groupe français, a signé un accord sur un plan de départ volontaire portant sur 800 à 1.000 postes sur trois ans, selon le journal Le Soir. Les départs naturels ne seront pas non plus remplacés, ce qui pourraient porter à 2.500 suppressions d’emplois en trois ans
"Aucun licenciement sec". C’est ce qu’a promis BNP Paribas Fortis, la première banque belge, rachetée en 2008 par le groupe français. Un accord de principe a été trouvé ce jeudi entre la direction de Fortis et les organisations syndicales, indique le journal belge Le Soir. Cet accord de prolongation de la convention collective de travail (CCT) « Garantie d’emploi » pourrait se traduire par la suppression de plusieurs centaines voire milliers d’emplois chez la banque belge qui emploie 13.000 personnes.
Le texte, qui entrera en vigueur avec effet rétroactif au 1er janvier 2019 pour une durée de trois an, prévoit « des mesures étendues permettant un accompagnement d’une fonction vers une autre, des garanties financières importantes en cas de perte d’emploi et des formules de mobilité externe sur base volontaire pour 800 à 1.000 collaborateurs, dans le cas où une solution interne ne pourrait pas être trouvée. »
En outre, BNP Paribas Fortis ne remplacera pas les départs naturels, ce qui concernerait entre 400 et 600 personnes par an. En tout, la banque pourrait donc supprimer quelque 2.500 emplois en trois ans
L’accord sur la table prévoit également de ne remplacer aucun départ "naturel" (retraites, démissions, etc.) au cours des trois prochaines années.
Au final, selon des estimations avancées par la presse belge, ce sont de 2.000 à 2.500 emplois que devraient ainsi être supprimés, poursuit le journal.
Les syndicats ont aussi dû accepter une réforme du temps de travail visant à travailler plus pour le même salaire.
La BCE a ainsi essuyé une perte nette de 7,94 milliards d’euros en 2024.
Sur l’année 2024, comme en 2023, Greenly estime que le compte bancaire le plus vert des banques françaises est helios.
L’AFT a lancé avec succès une nouvelle émission d’une obligation de long terme, 30 ans, l’OAT 25 mai 2056.
La tendance des baisses des taux directeurs des banques centrales perdure, après l’Angleterre, au tour de l’Inde d’abaisser ses taux directeurs (...)
Les publications des résultats de Boursobank (groupe Société Générale) confirment la bonne dynamique de la banque en ligne, 7,2 millions de (...)
À la différence des autres banques françaises, Crédit Mutuel Alliance Fédérale ne constate pas d’envolée de ses bénéficies nets en 2024.