
La banque centrale européenne a perdu 7,94 milliards d’euros en 2024
La BCE a ainsi essuyé une perte nette de 7,94 milliards d’euros en 2024.
L’immobilier neuf a vu ses prix grimper de 7% sur une année, selon les dernières informations publiées par le 6ième baromètre du Laboratoire de l’Immobilier (BFMBusiness), une étude sur 100 des plus grandes villes en France.
Publié le par
Hausse moyenne des prix du neuf : +7% sur un an
Sans réelle surprise, les prix du neuf se sont également envolés en 2021. Les causes de cette hausse sont multiples. Évidemment en cause, le manque d’offres disponibles sur le marché. La crise COVID laisse encore des traces et la chute des mises en chantier a fait plonger le stock de biens à vendre. Par ailleurs, l’inflation, cette fois-ci pas des prix, mais des normes de construction fait grimper également le prix de revient des biens immobiliers neufs. Mais ce n’est pas tout.
A lire aussi : Immobilier, les 3 principaux critères pour choisir un bien : prix, localisation et performance énergétique
Immobilier neuf : explications d’une telle hausse des prix Argent disponible : les Français les plus aisés avaient encore de l’argent à investir, cette fameuse épargne COVID. Les Français misent avant tout sur l’immobilier, jugé comme investissement proposant le ratio rendement/risque le plus attractif. Besoin de logements mieux équipés : la crise sanitaire a fait également évoluer les besoins des acquéreurs de biens immobiliers. Désormais, terrasses, balcons et jardins sont de plus en plus demandés. Or, sur les nouveaux programmes immobiliers, ce nouveau besoin est largement pris en compte. Demande en hausse, offre en baisse : les permis de construire sont en baisse dans les grandes villes, le déséquilibre se créé entre offre et demande. Les offres sont faibles par rapport à la demande, les prix augmentent logiquement, les promoteurs maximisant ainsi leurs investissements. Hausse des coûts des matériaux de construction : entre hausse des coûts de transport, des prix des matériaux eux-mêmes, le coût de revient d’un bien immobilier neuf est également revu à la hausse. Logements neufs éco-performants : les investisseurs misent sur des logements neufs afin de partir sur de bonnes bases en matière de consommation énergétique. Les nouvelles normes ainsi que la réduction de consommation d’énergie, avec l’envolée des prix que nous connaissons actuellement, poussent les acheteurs vers le neuf.Hausse des taux de crédit, un impact ?
La hausse des taux des crédits immobiliers a donné un coup d’arrêt aux acquisitions immobilières dans le neuf. Seuls les investisseurs ayant une surface financière importante peuvent encore acquérir des biens immobiliers. Le filtre en vigueur sur l’octroi des crédits demandant indirectement que les acheteurs aient un apport conséquent.
A lire aussi : Immobilier locatif : une forte hausse des loyers impayés depuis quelques mois ?
La revanche des villes moyennes
Comme pour l’ancien, ce sont surtout les villes moyennes françaises qui connaissent la plus forte des prix. Ainsi, Rennes voit ses prix du neuf grimper de 8% sur une année, en passant au-delà des 5.500 euros du m². Rennes est devenue plus chère que Bordeaux.
A lire aussi : Investissement dans l’immobilier résidentiel : forte progression au premier trimestre 2022, les investisseurs emballés par les fondamentaux économiques et démographiques
La BCE a ainsi essuyé une perte nette de 7,94 milliards d’euros en 2024.
Sur l’année 2024, comme en 2023, Greenly estime que le compte bancaire le plus vert des banques françaises est helios.
L’AFT a lancé avec succès une nouvelle émission d’une obligation de long terme, 30 ans, l’OAT 25 mai 2056.
La tendance des baisses des taux directeurs des banques centrales perdure, après l’Angleterre, au tour de l’Inde d’abaisser ses taux directeurs (...)
Les publications des résultats de Boursobank (groupe Société Générale) confirment la bonne dynamique de la banque en ligne, 7,2 millions de (...)
À la différence des autres banques françaises, Crédit Mutuel Alliance Fédérale ne constate pas d’envolée de ses bénéficies nets en 2024.