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Unélu LR de Marseille, Thierry Santelli, qui louait un appartement situé dans un immeuble déclaré en péril imminent à une famille, a démissionné mardi de sa fonction de vice-président du Conseil départemental, a annoncé sa présidente Martine Vassal (LR).
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Thierry Santelli est le troisième élu local à être sanctionné pour avoir loué, en temps que copropriétaire, un logement dangereux ou insalubre à Marseille.
Le site d’investigation locale Marsactu.fr a révélé lundi que M. Santelli était le propriétaire d’un appartement situé dans le quartier pauvre deSaint-Mauront, à Marseille .
L’escalier de l’immeuble menaçait de s’effondrer. La jeune maman et sa fille de deux ans à qui M. Santelli louait l’appartement, selon Marsactu, ont dû être évacuées par les pompiers le 13 novembre, avant qu’un arrêté de péril imminent n’interdise toute occupation de l’immeuble le 7 décembre.
Sur des photos publiées par Marsactu, dans la cage d’escalier de l’immeuble, le plafond troué laisse voir le plancher de l’appartement loué par l’élu. Ce dernier a assuré aux journalistes du site web que le syndic avait dès le 7 décembre fait voter des travaux pour 25.000 euros.
Dans un communiqué publié lundi, Martine Vassal explique avoir accepté la démission de l’élu, "une décision conforme à mon souhait de voir des règles claires et strictes s’appliquer dans le contexte lié à l’habitat indigne et dégradé sur notre territoire".
Trois semaines plus tôt, elle avait déjà accepté la démission de ses fonctions de vice-président de la Métropole -qu’elle préside également-, de Bernard Jacquier, avocat en droit immobilier, qui possédait un appartement dont les locataires avaient étéévacués à la suite d’un arrêté préfectoral d’insalubrité. Me. Jacquier a toutefois conservé son mandat d’élu.
Quelques jours après les effondrements d’immeubles meurtriers à Marseille, le président LR de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur, Renaud Muselier, avait déjà suspendu Xavier Cachard, vice-président LR du conseil régional, et propriétaire de l’un des appartements du 65 rue d’Aubagne qui s’est effondré. Ce dernier s’était vu "retirer toute délégation" "dans un souci de transparence".
Le 5 novembre, le drame de la rue d’Aubagne avait fait 8 morts, tous des occupants du numéro 65. Depuis la catastrophe, près de 1.500 personnes ont été évacuées de près de 200 immeubles en mauvais état dans la ville.


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