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La banque centrale européenne a perdu 7,94 milliards d’euros en 2024
La BCE a ainsi essuyé une perte nette de 7,94 milliards d’euros en 2024.
Le ralentissement du marché de l’immobilier se confirme, le volume de transactions baisse, la hausse des prix faiblit et les baisses de prix sont de plus en plus nombreuses, dans 40% des grandes villes. Mais la spéculation immobilière perdure dans quelques villes, comme à Bordeaux, Paris, Nantes...
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Le ralentissement de la hausse des prix des appartements anciens s’est poursuivi dans la quasi-totalité des grandes villes. D’ailleurs en février 2019, les prix signés continuent de baisser dans plus de 40 % des villes de plus de 100 000 habitants et ils n’augmentent plus que faiblement dans 20 % des grandes villes.
Les chiffres qu’a compilés le baromètre LPI-SeLoger nous révèlent que dans 40 % d’entre elles, les grandes villes françaises accusent un recul - parfois rapide - du prix de leur immobilier. La récession est particulièrement brutale dans les agglomérations (Béziers, Bourges, Calais) qui, en dépit de prix immobiliers abordables (moins de 1 700 € du m²), peinent à attirer des candidats acquéreurs dont le pouvoir d’achat immobilier est en "PLS".
Néanmoins la progression des prix reste très rapide sur Rennes depuis l’été dernier, avec une hausse de 12.0 % sur un an. Alors que Besançon surprend depuis le début de l’année, avec une pression sur les prix (+ 9.0 % sur un an) qui tranche avec la relative stabilité constatée durant les 5 dernières années.
Les baisses de prix sont souvent les plus rapides (au moins 8 % sur un an) dans des villes de plus de 60 000 habitants (Béziers, Bourges, Troyes voire Calais) où leur niveau est déjà faible (moins de 1 700 €/m²) : la faiblesse de la demande et de son pouvoir d’achat y contribue. Alors que les prix restent les plus élevés (plus de 6 000 €/m²) dans des villes franciliennes où ils augmentent encore rapidement : néanmoins, même si la pression de la demande y reste forte, la hausse des prix se fait moins vive, comme à Paris (avec + 7.3 %, contre + 8.1 % il y a un an).
La hausse des prix ralentit aussi nettement sur Bordeaux (avec + 6.1 %, contre + 16.4 % il y a un an), mais elle se maintient à un rythme élevé sur d’autres communes de la métropole (Mérignac, Pessac) vers lesquelles la demande se déplace progressivement
Sur les trois derniers mois, dans l’ancien, les prix des appartements font du « sur place » et sur l’année (3,4 %), il rend un point à son score de février de l’année dernière. Mais au global, tous logements confondus (maisons + appartements), la hausse annuelle se maintient à 3,6 %. Elle atteint respectivement 3,9 % et 3,4 % pour les maisons et les appartements).
Au vu du niveau qu’ont atteint les marges de négociation, on serait tenté de leur prescrire un bon remontant… Tous logements confondus, la réduction consentie par les vendeurs se limite, en effet, à 4,1 % du prix de vente. Il est intéressant de noter que la marge de négociation dont disposent les acheteurs tend toutefois à être plus importante pour les maisons (4,7 % du prix de vente) que pour les appartements (3,6 %). Cet écart peut trouver son origine dans le fait que les propriétaires n’hésitent plus désormais à calibrer « au plus juste » le prix de leurs appartements afin d’en sécuriser la vente. Contrairement aux maisons dont les prix affichés, en augmentant de 4,7 %, laissent une plus grande marge de manoeuvre aux acheteurs pour tenter d’obtenir une réduction.
La BCE a ainsi essuyé une perte nette de 7,94 milliards d’euros en 2024.
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