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La banque centrale européenne a perdu 7,94 milliards d’euros en 2024
La BCE a ainsi essuyé une perte nette de 7,94 milliards d’euros en 2024.
L’immobilier de bureaux en Ile-de-France, même s’il se maintient à un niveau supérieur à la moyenne décennale, a connu au 4e trimestre un fort ralentissement qui pèse lourdement sur l’activité de l’année 2018, selon une étude publiée mercredi.
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La demande placée a ainsi fléchi de 27% lors des trois derniers mois de l’année civile par rapport à la même période en 2017, pour atteindre 642.000 m2, révèle cette étude réalisée par le groupement d’intérêt économique Immostat.
Cette chute entraîne une baisse de 5% de l’indicateur sur les 12 mois de 2018, à 2.504.400 m2. Un niveau éloigné de celui de 2017, année de tous les records, mais qui reste toutefois significativement supérieur à la moyenne décennale (2.283.000 m2).
En raison de la raréfaction des biens disponibles, l’offre immédiate de bureaux décroit de 10% sur un an, à 2.944.000 m2.
L’offre de bureaux en construction a en revanche explosé (+25%) en 2018, à 1,5 million de m2, mais les livraisons n’interviendront pas avant 2019 à Paris, voire 2020 en première couronne.
La diminution de l’offre a cependant une conséquencepositive et attendue sur le montant des investissements réalisés en immobilier d’entreprise - acquisitions réalisées par des investisseurs -, qui ont progressé de 4% lors du dernier trimestre de 2018 (10,1 milliards d’euros) et de 19% sur l’ensemble de l’année écoulée (23,1 milliards d’euros).
Dans le sillage de l’indicateur, le prix moyen des bureaux achetés en Ile-de-France s’est apprécié de 1% en 2018.
Demande placée et investissement étaient respectivement en hausse de 33% et 6% sur neuf mois à l’issue d’un troisième trimestre déjà caractéristique d’unmarché en pause.
Cette enquête réunit les sociétés de conseil en immobilier d’entreprises BNP Paribas Real Estate, CBRE, Cushman&Wakefield et JLL.
cd/tq/nth
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