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La chute des cours des obligations en 2022 aurait pu fragilisé les banques européennes. La BCE a lancé une étude sur ce point, le total des moins-values latentes restantes à ce jour reste faible à ce jour : 73 milliards d’euros.
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Sur les marchés financiers, tant que l’on ne vend pas, l’on ne perd pas... La BCE a souhaité connaître l’étendu des dégâts dans les portefeuilles obligataires des banques européennes, après cette remontée des taux d’intérêt la plus rapide de toute l’histoire de la finance. Rien d’alarmant, moins de 100 milliards d’euros restent en moins-values latentes.
Moins-values latentes contenues
Le montant global des moins-values latentes dans les portefeuilles d’obligations des banques de la zone euro reste mesuré. Les banques soumises à la supervision de la BCE détenaient 73 milliards d’euros de moins-values latentes nettes dans leurs portefeuilles obligataires en février 2023. À court terme, les pertes calculées dans les conditions de marché actuelles et en période de tensions ne se matérialiseraient que dans le cas peu probable où les banques devraient vendre ces titres.
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Cet exercice de collecte de données publié ce jour par la Banque centrale européenne (BCE) montre que les banques de la zone euro soumises à sa supervision ont enregistré des moins-values latentes nettes de 73 milliards d’euros environ dans leurs portefeuilles obligataires détenus au coût amorti en février 2023, soit un montant globalement contenu. La BCE a collecté les données conjointement avec l’Autorité bancaire européenne (ABE) au
deuxième trimestre de cette année. L’exercice couvrait les obligations détenues au coût amorti et à la juste valeur par le biais des autres éléments du résultat global. Les superviseurs ont recueilli des informations sur les valeurs comptables et les justes valeurs de ces portefeuilles. La valeur comptable correspond à la valeur telle qu’elle est inscrite au bilan d’une banque, tandis que la juste valeur est une estimation du prix de marché effectif. La collecte a également porté sur les indicateurs relatifs aux investissements destinés à compenser les pertes potentielles, ou couvertures, et sur la sensibilité des portefeuilles obligataires aux variations des taux d’intérêt et aux spreads de crédit.
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Les moins-values latentes correspondent à la différence entre la valeur comptable et la juste valeur des titres de créance à une date donnée. Les pertes nettes comprennent également les ajustements liés aux couvertures. Elles ne sont pas comptabilisées dans les comptes de résultat ou les bilans des banques en raison de leur traitement comptable différent résultant d’un horizon de placement plus long. À court terme, les pertes ne se matérialiseraient que dans le cas peu probable où les banques devraient vendre ces titres. Notamment, même en situation de tensions sur les marchés, il est peu probable que les banques procèdent à une vente ferme de ces titres ; elles préfèreraient se procurer des liquidités par d’autres canaux, tels que des opérations de pension avec d’autres banques ou une banque centrale.
Les moins-values latentes brutes ont augmenté progressivement après décembre 2021 pour atteindre 124 milliards d’euros environ en décembre 2022. Sur la même période, les banques ont eu de plus en plus recours à des opérations de couverture pour compenser ces moins-values latentes. Après prise en compte des couvertures, le niveau agrégé d’exposition au risque de taux d’intérêt lié aux obligations apparaît relativement contenu à février 2023. L’analyse a montré que les moins-values latentes nettes augmenteraient de 155 milliards d’euros supplémentaires si le scénario adverse pour le risque de marché retenu dans le test de résistance mené en 2023 à l’échelle de l’UE se concrétisait. Par conséquent, la BCE demande aux banques d’accorder toute l’attention nécessaire aux stratégies en matière de risque de taux d’intérêt.
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