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La réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron en 2019 ne sera en rien définitive et des ajustements seront nécessaires pour maintenir l’équilibre financier, en particulier le report de l’âge légal de 62 à 63 ans, ont affirmé mercredi les sénateurs René-Paul Savary (LR) et Jean-MarieVanlerenberghe (UC).
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"Des réformes paramétriques seront toujours nécessaires pour adapter notre système de retraite à l’allongement de la durée de la vie et à la baisse du ratio démographique" entre actifs et retraités, ont déclaré les deux parlementaires lors d’une interventiondevant la commission des Affaires sociales du Sénat.
Respectivement rapporteur général et rapporteur "assurance vieillesse" de cette commission, MM. Vanlerenberghe et Savary se sont rendus ces derniers mois en Allemagne, en Italie et en Suède, où ont été mises en oeuvre des "réformes systémiques".
"La conclusion que nous tirons est qu’elles ne signifient en rien une réforme définitive", ont-ils assuré.
Dans chaque pays, "l’âge de la retraite demeure le paramètre central des systèmes de retraite, autant pour assurer leur équilibre financier qu’un niveau de vie suffisant aux retraités".
Or, le système français est déficitaire et le restera au moins jusqu’en 2036, dans le meilleur des scénarios envisagés par le Conseil d’orientation des retraites (COR).
"La réforme de 2019 devra traiter inévitablement de cettequestion", ont estimé les deux sénateurs, soulignant que "l’âge moyen de départ à la retraite en France demeure inférieur de 2 à 3 ans à ceux observés dans les pays visités".
Selon eux, le maintien de l’âge minimum légal à 62 ans "aurait pour conséquence de +fabriquer+ des retraités plus pauvres" et son "relèvement à 63 ans", défendu "depuis plusieurs années" par la commission des Affaires sociales du Sénat, "demeure plus que jamais d’actualité".
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