
La banque centrale européenne a perdu 7,94 milliards d’euros en 2024
La BCE a ainsi essuyé une perte nette de 7,94 milliards d’euros en 2024.
Les bâtiments tertiaires - bureaux, commerces, hôtels - seront concernés par les contraintes légales de rénovation énergétiques lorsqu’ils hébergent des activités sur plus de 1.000 mètres carrés, précise jeudi un décret paru au Journal Officiel.
Publié le par à 0 h 0
"Sont assujettis aux obligations tout bâtiment hébergeant exclusivement des activités tertiaires sur une surface de plancher supérieure ou égale à 1.000 mètres carrés", dit le décret, qui entrera en vigueur au 1er octobre et précise les modalités d’application de mesures prévues par la loi sur le logement adoptée l’an dernier.
Celle-ci impose aux bâtiments tertiaires, qui vont des bureaux aux hôtels en passant par les commerces et les administrations, de prendre les mesures nécessaires pour réduire leur consommation d’énergie de 40% d’ici à 2030, 50% d’ici à 2040 et 60% d’ici à 2050. Ces objectifs s’entendent par rapport à 2010.
Avant cette loi, dans les derniers temps du quinquennat de François Hollande au printemps 2017, un décret avait déjà imposé des objectifs à plus courte échéance, comme le fait de réduire d’un quart la consommation d’ici à 2020.
Saisi par des fédérations de commerçants et d’hôteliers, le Conseil d’Etat l’avait toutefois annulé, jugeant qu’il était difficilement envisageable de répondre à ces obligations dans les délais impartis.
Le décret publié jeudi, qui ouvre des possibilités de dérogation aux monuments historiques ou aux bâtiments pour lesquels des travaux menaceraient le bâti, fixe des objectifs plus lointains mais resserre aussi les critères de superficie, puisque la version de 2017 fixait un minimum de 2.000 mètres carrés.
Si le bâtiment accueille d’autres activités, par exemple des logements, le seuil de 1.000 mètres carrés sera par ailleurs également valable, mais en se rapportant uniquement à la surface sur laquelle les activités tertiaires sont exercées.
La BCE a ainsi essuyé une perte nette de 7,94 milliards d’euros en 2024.
Sur l’année 2024, comme en 2023, Greenly estime que le compte bancaire le plus vert des banques françaises est helios.
L’AFT a lancé avec succès une nouvelle émission d’une obligation de long terme, 30 ans, l’OAT 25 mai 2056.
La tendance des baisses des taux directeurs des banques centrales perdure, après l’Angleterre, au tour de l’Inde d’abaisser ses taux directeurs (...)
Les publications des résultats de Boursobank (groupe Société Générale) confirment la bonne dynamique de la banque en ligne, 7,2 millions de (...)
À la différence des autres banques françaises, Crédit Mutuel Alliance Fédérale ne constate pas d’envolée de ses bénéficies nets en 2024.