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Le groupe bancaire BPCE a publié un résultat net en hausse de 26% en 2024, à 3,5 milliards d’euros.
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Le groupe bancaire BPCE a annoncé ce mercredi 5 février un résultat net en hausse de 25.53% en 2024, à 3,5 milliards d’euros, porté notamment par sa banque de financement et d’investissement et la bonne santé de ses réseaux Banques populaires et Caisses d’épargne en fin d’année.
L’ensemble du groupe bancaire BPCE (Banque Populaire, Caisse d’Epargne, Oney, Natixis) a publié un résultat net part du groupe de 3,52 milliards d’euros (+25.53 % sur un an) pour l’année 2024.
Le réseau Banque Populaire, appartenant au groupe BPCE, a publié un résultat net part du groupe de 1.285 milliard d’euros (-3.23 % sur un an) pour l’année 2024.
Le réseau Caisse d’Epargne, appartenant au groupe BPCE, a publié un résultat net part du groupe de 1.2 milliard d’euros (+ 9.68 % sur un an) pour l’année 2024.
Le produit net bancaire (PNB, équivalent du chiffre d’affaires pour le secteur), s’est élevé à 23,3 milliards d’euros l’an dernier, en hausse de 5%. Dans le détail, le résultat net du pôle « Banque de proximité et assurance », qui rassemble les deux principaux réseaux ainsi des métiers tels que l’assurance et les paiements, progresse de 9% en 2024, à 2,9 milliards d’euros, pour un PNB en hausse de 4%, à 15,4 milliards d’euros. Cette progression s’est fortement accentuée en deuxième partie d’année.
Nicolas Namias met en avant une amélioration de la marge nette d’intérêt - la différence entre le taux auquel une banque prête de l’argent et celui auquel elle emprunte - et une hausse des commissions. La division « Global financial services », qui regroupe les métiers dits « mondiaux » issus de la banque Natixis, comme la banque de financement et d’investissement, affiche un bénéfice net de 1,45 milliard d’euros, en hausse de 4%, pour un PNB en hausse de 8%, à près de 8 milliards d’euros. Le résultat net du groupe est cependant amputé de 834 millions d’euros comptabilisés en « hors métiers », liés en partie aux coûts des fonctions centrales.
BPCE a par ailleurs annoncé ce mercredi le lancement d’une « plateforme technologique » commune aux Banques populaires et aux Caisses d’épargne, un « projet majeur » selon le président du directoire, décidé « après un an de travaux ». Le groupe bancaire partira du système d’information des Caisses d’épargne, qui se trouvera « enrichi » et sur lequel migreront les Banques populaires. « Cette initiative répond à des enjeux essentiels tels que la modernisation des paiements, la digitalisation des usages, le développement de l’intelligence artificielle, ainsi que la cybersécurité », détaille un communiqué.
« C’est un très grand projet qui durera quatre ans », précise le président du directoire. Il espère que cette nouvelle plateforme fera économiser entre 130 et 140 millions d’euros par an, une fois le projet achevé. En attendant, le coût de ce chantier est élevé : entre 700 et 750 millions d’euros. Mais l’impact sur le résultat sera « quasi nul », affirme-t-il enfin. Faut-il y voir un premier pas vers une fusion des Banques populaires et des Caisses d’épargne ? « Il n’y a aucune fusion bancaire dans ce projet ou impliqué par ce projet », répond le président du directoire. Le communiqué précise d’ailleurs que « ce projet respectera l’identité des deux réseaux ». La Bred, une des banques populaires d’Île-de-France, conservera son propre système, tout comme la Casden, la banque coopérative de la fonction publique.
Le groupe BPCE continue de dérouler son plan stratégique dévoilé l’été dernier, dans une « exécution très rythmée, avec des projets d’envergure », appuie Nicolas Namias. La banque est par exemple sur le point de finaliser la reprise des activités de financement de biens d’équipement pour les entreprises de la Société Générale, regroupées dans SGEF, moyennant 1,1 milliard d’euros. Elle a par ailleurs annoncé le 21 janvier la création d’une coentreprise entre son gestionnaire d’actifs Natixis IM et l’assureur italien Generali, pour créer un mastodonte européen de la gestion d’actifs.
Natixis IM apportera l’ensemble de ses encours, comptabilisés à 1 317 milliards d’euros à fin décembre. Le secteur de la gestion d’actifs est en ébullition depuis l’annonce l’été dernier de la reprise par BNP Paribas de la filiale de gestion d’actifs de son compatriote Axa, pour 5,4 milliards d’euros. BPCE est par ailleurs engagée aux côtés de BNP Paribas autour d’une solution commune dans le secteur des paiements. La banque a enfin annoncé ce lundi la création d’une société de conseil aux entreprises, en partenariat avec le cabinet Eurogroup Consulting.
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